29/06/2010
Dominique Gilliot a été choisie pour partir à Bâle en septembre dans le cadre de la résidence croisée entre Astérides Marseille et IABB Bâle, soutenue par Mécènes du Sud.
Depuis 5 ans, Dominique Gilliot fait un travail performatif qui consiste en une mise en scène d'elle même. Elle conçoit ses performances comme des investissements corporels éphémères coulés dans un réseau multiple et compliqué de micro territoires enchâssés, connexes ou juste contigües.
Elle pratique une politique du contre-pied permanent, qui trouve son origine dans une certaine peur de l'ennui, une angoisse du vide. L'idée de l'adolescance, du fragile, du non abouti est omniprésent dans son travail. Elle fait souvent référence à des musiques marquées, utilise des objets disséminés dans l'espace. Des déplacements et des trajectoires signifiantes viennent s'inscrirent et se tracent au sein de micro univers.
Dominique Gilliot a été choisie pour partir à Bâle en septembre dans le cadre de la résidence croisée entre Astérides Marseille et IABB Bâle, soutenue par Mécènes du Sud.
Depuis 5 ans, Dominique Gilliot fait un travail performatif qui consiste en une mise en scène d'elle même. Elle conçoit ses performances comme des investissements corporels éphémères coulés dans un réseau multiple et compliqué de micro territoires enchâssés, connexes ou juste contigües.
Elle pratique une politique du contre-pied permanent, qui trouve son origine dans une certaine peur de l'ennui, une angoisse du vide. L'idée de l'adolescance, du fragile, du non abouti est omniprésent dans son travail. Elle fait souvent référence à des musiques marquées, utilise des objets disséminés dans l'espace. Des déplacements et des trajectoires signifiantes viennent s'inscrirent et se tracent au sein de micro univers.
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